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Ressources "Les femmes du cinéma amateur..."

Ressources "Les femmes du cinéma amateur..."

Les membres de Diazinteregio travaillent depuis de nombreuses années à valoriser leurs collections de mémoire filmique des territoires. Au sein de la plateforme Amorce, nous regroupons leurs travaux autour de sujets communs. Découvrez de nombreux articles spécifiques sur les sites respectifs des membres du réseau sur des points clés autour de la thématique des Femmes du cinéma amateur, institutionnel et militant ainsi que des montages d'archives et captations de témoignages réalisés par nos membres et publiés sur Amorce.

Articles
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Coïncidence amusante, Marguerite naît en même temps que le cinéma, l’année même de la première projection cinématographique en Alsace, quelques mois après la projection publique des frères Lumière Boulevard des Capucines à Paris. Mais on sait que le cinéma fut longtemps le domaine réservé des hommes, aussi bien pour le cinéma professionnel (même s’il y eut de remarquables exceptions comme Alice Guy première réalisatrice de l’histoire du cinéma, qui filma pour Gaumont dès 1896) que pour le cinéma amateur. Dans les fonds de MIRA, elle est une brillante pionnière, auteur d’une belle collection de films amateurs tournés des années 30 aux années 50.
Femmes ouvrières à l’usine à gaz de Rennes - Collections du Musée de Bretagne N 2000.0023.140.jpg
« Femmes : au travail ! » Avec ce titre un brin provocateur, une ciné-conférence mise au point en 2023 par une équipe conjointe de Bretagne Culture Diversité et la Cinémathèque de Bretagne, a pu explorer la place des femmes dans le monde du travail, des années 1940 aux années 1970 en Bretagne. Si le regard du cinéaste amateur glisse sur ces femmes laborieuses sans réellement les voir, elles n’hésiteront pas à s’emparer de la caméra pour se faire entendre et trouver leur place.
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Par des images collectées et conservées par Ciclic, Marie Dupont raconte son histoire traversant le XXème siècle
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Par des images collectées et conservées par Ciclic, Marie Dupont raconte son histoire traversant le XXème siècle
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Mariages, baptêmes, premiers pas des enfants, vacances au ski… Autodidacte, Claire Sauvage n’a eu de cesse de filmer les instants les plus précieux de sa famille au cours des années 1950. Des films en 9,5 mm qui montrent aussi des paysages et des événements de la ville de Saint-Valery-sur-Somme. La fille aînée de Claire Sauvage, Monique, se remémore les dimanche après-midi pluvieux, moments privilégiés où toute la famille était réunie lors des projections des films de la cinéaste.
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Jeanine Bourgau a réalisé le film documentaire sonore « Les Harengs » (1978) puis « l’Étoile du matin » (1981) dont les images sont restées à l’état de rushes. Leur point commun ? L’univers des marins pêcheurs dont est issue la Crotelloise, soucieuse de transmettre une histoire intime, qui s’inscrit désormais dans un récit historique et une mémoire collective.
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Paulette Lefebvre, c’est tout un personnage. Née en 1910, la jeune femme réalise son premier film à 22 ans : une fiction. De 1937 à 1959, elle documente les événements marquants de sa ville, Montreuil-sur-Mer. Proche de ses neveux et nièces sur deux générations, elle partageait avec eux ses aventures, et surtout ses films. Roger Damour, son neveu et Jérôme Damour, son petit-neveu, se souviennent encore : la pellicule qui se coince en pleine projection, les anecdotes, les moments passés ensemble. 
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Après les suffragettes et les femmes ministres, Michèle Dominici a posé son regard sur les femmes au foyer des Trente Glorieuses. Dans son nouveau documentaire “L’histoire oubliée des femmes au foyer”, la réalisatrice relève un défi en apparence impossible : montrer à l’image ces femmes à “la vie discrète, invisible à force d’être ordinaire”. En faisant dialoguer journaux intimes, films de famille et archives télévisées, elle évoque sans tabou l’assignation, l’aliénation et la dépression, mais aussi l’émancipation. Un film intime et politique bouleversant.
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À l’occasion de l’avant-première du film “Les années Super 8” le 21 juin 2022 au Forum des Images à Paris, Annie Ernaux et son fils David Ernaux-Briot sont revenus sur les secrets de fabrication de ce documentaire (61’) réalisé main dans la main sur la base d’archives familiales. L’occasion pour celle qui allait se voir décerner quelques mois plus tard le Prix Nobel de Littérature d’évoquer des années déterminantes de sa vie. Le film est sorti en salle en décembre 2022.
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D’origine brésilienne, Beatriz Rodovalho a soutenu en 2018 une thèse consacrée au réemploi de films d'amateurs à partir du travail du cinéaste hongrois Péter Forgács, auteur notamment de “La famille Bartos” (1988). S’appuyant sur le remontage des films de famille, elle a analysé la migration de ces images d’un contexte privé à un contexte collectif, politique et artistique. Aujourd’hui, Beatriz Rodovalho enseigne au département de cinéma de l’université d’Amiens et coordonne avec Giuseppina Sapio le groupe de recherche “Pratiques audiovisuelles d’amateur” au sein du laboratoire de recherche Ircav de l’Université Paris 3. Grâce à elles, le champ d'études ouvert par le théoricien Roger Odin s'actualise et s'élargit.
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Quand l’écriture se frotte à l’image documentaire…
Il arrive que friction devienne conflit et qu’au lieu d’ouvrir de nouvelles perspectives, les deux na(rra)tions se fassent la guerre. La friction - qui devait secouer et bonifier- devient stérile. 
Plutôt que de superposer le texte à l’image qui l’a inspiré, il faut alors les poser côte à côte, à légère distance, pour que les regards se croisent et s’enrichissent l’un de l’autre. Le visage s’anime à l’image, les voix donnent vie au texte. La même valse triste nous entraîne dans les méandres de la mémoire et du rêve.
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Relations franco-algériennes, cités HLM, mobilisations sociales…Depuis près de quarante ans, l’œil sensible de Dominique Cabrera se fait le témoin d’une histoire en perpétuel mouvement, où se nichent et se côtoient épopées collectives et tragédies familiales. Du long-métrage de fiction au documentaire, en passant par l’essai personnel ou le film improvisé, elle explore des formes plurielles et livre une œuvre foisonnante capable de dresser une mémoire intime à portée universelle.
Dans son journal-filmé Demain et encore demain (1995) comme dans son roman familial Grandir (Ô heureux jours) (2013), la cinéaste devient chroniqueuse du quotidien, captant et partageant ses moments de joie, de doute et de peine. À l’occasion de la rétrospective que lui consacre la Cinémathèque du documentaire de la BPI du Centre Pompidou et de la publication de l’ouvrage collectif Dominique Cabrera. L’intime et le politique (2021, De l’Incidence Éditeur), la réalisatrice revient sur sa part de cinéma autobiographique.
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Après avoir été responsable de la Cinémathèque Robert Lynen de la Ville de Paris et présidente de la Fédération des cinémathèques et archives de films de France, Béatrice de Pastre occupe aujourd’hui le poste de directrice adjointe du patrimoine cinématographique et de directrice des collections du CNC à Bois d’Arcy. Si la part des films dits “de famille” reste marginale au CNC, ils permettent néanmoins de “documenter des choses assez exceptionnelles” et à ce titre, ils font l’objet d’une attention particulière. Parmi eux, des films du médecin Jean Comandon et de la comtesse Greffulhe ou encore des scènes inédites de l’arrière-front pendant la Première Guerre mondiale. 
Lucette et Maria.jpg
Quand l’écriture se frotte à l’image documentaire…
L’une est du Sud, l’autre du Nord. L’une a voyagé, l’autre pas, sauf pour aller de la maison à l’usine et retour. Leurs pas et leurs histoires se croisent dans une fabrique de chaussettes, accessoire vestimentaire injustement méprisé, qui sera la clé secrète d’un chemin salvateur.
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Entretien croisé avec Juliette JUNG et Marie Cécile BOUGUET, documentalistes chez CC&C
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On ne nait pas femme, on le devient. Simone de Beauvoir a beau le proclamer, tout cela ne nous dit pas comment on le devient…
Le filmeur et louvriere.jpg
Une DS flambant neuve trône près des garages. Nous sommes dans la cour de l’usine Depape. Une usine textile du Santerre située à l’est du département de la Somme et, comme dans beaucoup de familles industrielles de cette époque, la maison familiale jouxte l’usine…
Le filmeur et Francoise.jpg
Là c’est Bruno, au lycée Félix Faure de Beauvais, adolescent plein de promesses, mais cela ne s’est pas fait tout seul. Françoise a bien aidé ses parents, enfin on ne sait pas vraiment s’ils ont tout compris…
Le filmeur et le journal dune Miss.jpg
Le promeneur solitaire peut rencontrer l’aventure…et elle prend parfois des formes inattendues. Lors d’une brocante dans l’Oise, l’œil est attiré par un carnet et des bobines de films…
La femme dans le cinema amateur.png
A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Archipop a présenté un programme d’archives cinématographiques amateurs composé de films réalisés par des femmes cinéastes, de films représentant les femmes au travail et de films où la figure féminine est centrale.
Productions audiovisuelles
9 vidéo(s)
Triées par
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